suite a l'affrontement qui m'opposa a mes assaillant, et dans lequel je fut blesser grievement au flanc droit, je dut partir precipitament en direction de Kumo afin d'y trouver des soin.
n'ayant aucune conpetence specifique au point de vu medical, je m'efforcait au mieu d'arreter l'hemoragie avec un garo fait a partir de ma chemise.
l'hemoragie etant assez importante, je me mis a courrir, de peur de trepasser avant d'avoir atteint les porte du village mais, je m'arreta car, je perdait plus de sang de cette maniere. je me rendit a l'evidence, il me faudrait donc marcher. nous n'habitions pas si loin de Kumo, mais, dans un etat comme le mien, meme un tres court trajet semble etre infini.
au fur et a mesure que le temps passait, et que le sang s'echapait de ma blessure, je voyais defiler des allucination parmi lesquelle je revoyais ma soeure, mon pere, ma mere, je revivait les bons moment que j'avait passer avec eux, et je me sentait bien, car, je retrouvais le sourrire disparu des visages que j'aimais. je me sentais tellement bien que je voulais rester avec eux pour toujours, mais a chque fois, je reprenais connaissance par un craquement de bois dans la foret, le chant des oiseaux, et je me remettait donc a chaque fois en route.
quelques minutes plus tard, j'appercevais les portes de Kumo, je me rejouissait de plus en plus, mais la douleur etait la pour me rapeller que ce n'etait pas un jour de fete, et que je devais a tout pris me faire soigner.
ma blessure m'inquietait, je perdait de plus en plus de sang, ma vision se troublait, et mes sens en furent de plus en plus affecter.
je ne me trouvais qu'a une dizaine de metre des portes quand, tout a coups, mes jambent me lacherent. je m'ecroula, et perdit conscience en me demandant si c'etait la fin, et en pleurant de tristesse car je quittait ce monde, mais de joie car je retrouverait les personnes qui me sont cheres.